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QU’EST CE QU’UN ORDRE ?

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Notre histoire

Création de l’Ordre des Pharmaciens

Le premier texte organisant la pharmacie en Tunisie fut le décret beylical du 15 Juin 1888... Lire plus

Les Journées Pharmaceutiques de 1948

Pour fêter ces deux événements, l’institution de l’Ordre des Pharmaciens et la réalisation de la «Maison du Pharmacien»... Lire plus

Les élections de 1954

Les élections de 1954 ont donné le Conseil de l’Ordre suivant : -Président : William BEDOUHA... Lire plus

L’indépendance de La Tunisie

Le 20 Mars 1956 fut proclamée l’indépendance de la Tunisie. Comme dans tous les domaines, bien des choses vont changer dans la profession pharmaceutique... Lire plus

Décret-loi du 16 mars 1960

Le premier texte réglementant la pharmacie de l’indépendance fut donc le décret N° 60-12 promulgué le 16 mars 1960... Lire plus

Le Conseil de l’Ordre de 1969

En 1968 et 1969 le nombre de pharmaciens diminue encore pour atteindre 130 pharmaciens... Lire plus

Renouvellement du Conseil de l’Ordre

Le Conseil de l’Ordre élu continua à organiser la profession et de nouveaux textes réglementaires ont été promulgués en collaboration avec les autorités compétentes... Lire plus

Progression du nombre de pharmaciens

Le nombre de pharmaciens inscrits au Tableau de l’Ordre a nettement augmenté puisqu’il a été multiplié par 6 en 13 ans : Il passe de 132 au 1er janvier 1966 à 767 au 31 décembre 1979... Lire plus

Revalorisation des marges bénéficiaires

Le Conseil de l’Ordre, après des discussions laborieuses avec les autorités, a pu rétablir les marges bénéficiaires d’avant 1968 pour les pharmacies d’officine (32%, 30% et 28%)... Lire plus

Motion

Nous, pharmaciens, réunis ce jour samedi 4 mars 1972, en Assemblée Générale à la Maison du Pharmacien, sur convocation du Président du Conseil de l’Ordre... Lire plus

Loi du 3 août 1973

Cette loi, objet d’un compromis avec les autorités, amena des changements importants... Lire plus

Le Conseil de l’Ordre de 1973

Le Conseil de l’Ordre élu à l’issue de l’Assemblée Générale du 6 octobre 1973, qui; a vu une participation massive des pharmaciens, a été ainsi constitué... Lire plus

Pharmacies de nuit

C’est en 1976 que fut ouverte la première pharmacie exclusive de nuit*. Ces pharmacies de nuit ont vu leur nombre augmenter rapidement... Lire plus

Elections du CNOPT de Février 1990

L’Ordre des Pharmaciens tient son Assemblée Générale Elective le 15 février 1990. Sont élus... Lire plus

Textes législatifs

En ce qui concerne les officinaux, le nombre de demandes d’installation dans les villes déjà saturées posant des problèmes, une «décision» du Ministre de la Santé Publique... Lire plus

Baisse du numerus clausus

En juin 1992, un décret portant organisation de l’exploitation des officines de détail est promulgué. De profonds changements interviennent avec la publication de ce nouveau décret... Lire plus

Elections du CNOPT de Mai 1993

Le 11 mai 1993 s’est tenue à Sousse (Port El Kantaoui) l’Assemblée Générale Elective de l’Ordre des Pharmaciens... Lire plus

Décès Aziza OUAHCHI

Le 27 juin 1993 disparaissait la regrettée présidente Aziza OUAHCHI. Pendant une vingtaine d’années, elle a eu un rayonnement particulier sur la pharmacie en Tunisie... Lire plus

Maison du pharmacien

Après de nombreux essais d’achat de terrain ou de villa pour y installer la «maison du pharmacien», le Conseil de l’Ordre a fini par opter pour l’achat d’une villa... Lire plus

Baisse des marges bénéficiaires

L’arrêté du 20 février 1996 fixe de nouvelles marges bénéficiaires pour les pharmaciens d’officine et les grossistes – répartiteurs... Lire plus

Elections du CNOPT de Mai 1996

L’Ordre des Pharmaciens tient à son tour son assemblée générale élective le 4 mai 1996 à Tunis. Le nouveau Conseil National de l’Ordre est ainsi constitué... Lire plus

Elections du CNOPT d’Avril 1999

-Président : Radhi DARGHOUTH -Vice-président : Ali ENNEIFER...

Elections du CNOPT d’Avril 2002

-Président : Nabil SAIED -Vice président : Ali NAAS... Lire plus

NOS ANCIENS PRESIDENTS ET BUREAUX

Le premier texte organisant la pharmacie en Tunisie fut le décret beylical du 15 Juin 1888.

Cependant à cette époque il n’y avait pas de structure professionnelle pharmaceutique. La première organisation qui vit le jour fut l’Association Générale des Pharmaciens en 1910.

Le Syndicat Pharmaceutique de Tunisie prit la relève pour défendre les intérêts matériels du pharmacien en 1933.

C’est à l’initiative du Syndicat Pharmaceutique de Tunisie qu’une réforme a eu lieu et a abouti à la promulgation d’un Décret beylical sur l’organisation de la profession de Pharmacien, publié au J.O. n° 57 du 15 juillet 1947.

Ce décret reprend en grande partie, mais en les améliorant, les dispositions des précédents décrets, particulièrement les décrets du 10 Mars 1927, du 16 Mars 1936 et celui du 24 Janvier 1938 : Il apporte de plus des transformations importantes dont les principales concernent la création d’un ordre des pharmaciens et l’organisation des pharmaciens en collèges.

Ce décret stipule notamment dans son article 24 : «Il est institué un Ordre des Pharmaciens groupant obligatoirement tous les pharmaciens habilités à exercer leur art en Tunisie, à l’exception des pharmaciens chargés de fonctions purement administratives.

«L’ordre veille au maintien des principes de moralité, de probité et de dévouement indispensables à l’exercice de la profession de pharmacien ainsi que des règles édictées par le code de déontologie français. Il assure la défense de l’honneur et l’indépendance de la profession pharmaceutique».

Il accomplit sa mission par l’intermédiaire :

• Du Conseil de l’Ordre

• Du Conseil de discipline

• De la Chambre de discipline.

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Pour fêter ces deux événements, l’institution de l’Ordre des Pharmaciens et la réalisation de la «Maison du Pharmacien», le Syndicat Pharmaceutique de Tunisie organisa les Journées Pharmaceutiques Tunisiennes qui se déroulèrent du 20 mars au 1er avril 1948, dans un grand faste.

Il n’y a pas eu bien sûr 10 jours de conférences, mais l’organisation de ces journées comprenait un programme scientifique et un programme touristique destiné aux hôtes illustres des pharmaciens tunisiens.

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Les élections de 1954 ont donné le Conseil de l’Ordre suivant :

-Président : William BEDOUHA

-Vice-Président : Mohamed BEN HAMOUDA

-Secrétaire : Maurice TAIEB

-Trésorier : Ch. SAADA

-Assesseurs : J. CASANOVA, R. DURAND, P. JARMON, Y. RIVEMALE et N. ZAOUCHE.

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Le 20 Mars 1956 fut proclamée l’indépendance de la Tunisie. Comme dans tous les domaines, bien des choses vont changer dans la profession pharmaceutique.

La tunisification sera de plus en plus effective et les nationaux remplacent les français que ce soit dans les divers postes administratifs ou dans les domaines hospitalier et officinal.

C’est ainsi qu’en Août 1957, les autorités ont promulgué un décret créant une «Commission Provisoire» chargée de gérer la profession et de préparer une législation pharmaceutique tunisienne, en remplacement de Conseil de l’Ordre.

Composition de la Commission Provisoire nommée par arrêté du Ministre de la Santé Publique en date du 15 Novembre 1957 :

-Président : Khélil MATRI

-Secrétaire Général : Ali TRITAR

-Trésorier : Ahmed ZOUITEN

-Membres : Jacques BERREBI, Abdelhamid CHAHED, Moncef ZOUHIR

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Le premier texte réglementant la pharmacie de l’indépendance fut donc le décret N° 60-12 promulgué le 16 mars 1960.

Celui-ci reprend en grande partie les dispositions du décret beylical de 1947, mais apporte aussi des changements importants :

•L’exercice de la profession pharmaceutique est réservé aux tunisiens (officine, laboratoires d’analyses médicales, fabrication et grossisterie).

•L’Ordre est seul chargé de la défense des intérêts moraux et matériels de la profession. Les attributions du Syndicat sont ainsi dévolues à l’Ordre.

Cette aberration juridique aura de graves répercussions sur la profession et ses effets néfastes ont duré près de 25 ans; et seront à l’origine de graves crises internes.

•Le Conseil de l’Ordre est élu pour 3 ans et est composé de 9 membres

-5 du 1er collège

-2 du 2ème collège

-2 du 3ème collège et du pharmacien inspecteur avec voix consultative.

Le Conseil de l’Ordre s’est penché sur l’organisation du travail dans les officines et a fixé les horaires d’ouverture et de fermeture des pharmacies comme suit :

-Hiver : 8h-13h et 15h-20h

-Eté : 8h-13h et 16h-21h

En 1960 Tunis comptait 83 pharmaciens d’officine. Le service d’été par demi journée a été adopté par le C.O.P après un référendum auprès des pharmaciens de Tunis et sera organisé et appliqué dès l’été 1963. D’autres villes de Tunisie suivront cet exemple.

Un service de nuit a été assuré par les pharmaciens volontaires qui en font la demande au C.O.P. Il y avait 4 pharmacies ouvertes la nuit à Tunis pendant les années 60.

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En 1968 et 1969 le nombre de pharmaciens diminue encore pour atteindre 130 pharmaciens. C’est le chiffre le plus bas jamais atteint depuis les années 40, au lendemain de la 2ème guerre mondiale.
Il n’ y avait plus que 99 pharmaciens inscrits au tableau de l’ordre et ayant droit de vote sur les 130 pharmaciens exerçant en Tunisie (étrangers, non inscrits…)
Lors de l’Assemblée Générale Élective du 2 juillet 1969 on comptait :

-80 officinaux inscrits au 1er collège dont 69 avaient voté

-11 inscrits au 2ème collège dont 6 avaient voté

-8 inscrits au 3ème collège dont 5 avaient voté

-soit : 99 pharmaciens inscrits dont 80 avaient voté.

Donc à l’époque 80% des pharmaciens inscrits au Tableau de l’Ordre avaient participé à l’élection de leur Conseil de l’Ordre.

Le Bureau de 1969 avait été ainsi constitué :

-Président : Sadok BEN YAHMED

-Vice-Président : Mohsen KCHOUK

-Secrétaire Général : Mohamed EL FEKIH

-Trésorier : Abdelkader KABADOU

-Assesseurs : Abdelkrim BEN EZZEDDINE, Slaheddine BAHRI, Brahim GHERIB, Mohamed KABANI, Boubaker BEN YAHIA

-Pharmacien Inspecteur : Mongi FOURATI

En 1970 furent nommés les premiers pharmaciens biologistes chefs de service des hôpitaux.

La même année le Ministère de la Santé Publique décida, après avis du Conseil de l’Ordre, d’assimiler l’exercice pharmaceutique à la P.C.T. à celui effectué dans les structures hospitalières.
Cette décision permit à de nombreux pharmaciens exerçant à la P.C.T. de s’installer comme officinaux, particulièrement à Tunis et banlieue.

L’année 1970 était surtout marquée en Tunisie par une nouvelle orientation politique qui abandonne l’objectif collectiviste pour une économie libérale. Ce revirement politique a permis de sauver la pharmacie d’officine et la grossisterie privée.

En effet, un projet de réforme de la loi de 1960 devait donner le coup de grâce à l’exploitation privée de ces deux branches d’activité. Pour y faire face, les Conseils de l’Ordre qui s’étaient succédés depuis 1963 avaient choisi de pratiquer une résistance passive en attendant des jours meilleurs. On a ainsi pu passer le cap et dépasser cette situation jugée très grave par tout le corps pharmaceutique. Un ouf de soulagement pour les pharmaciens !

Dans ce nouveau contexte libéral avait été reposé le problème de la société mixte P.C.T-Pharmaciens. L’Etat s’était de nouveau déclaré prêt à céder la fabrication aux privés et peut être même l’importation. Le Conseil de l’Ordre a désigné une commission d’étude de ce projet et de nombreuses réunions avec les pharmaciens des divers collèges ont été tenues par petits groupes.

Malheureusement les choses ont traîné et malgré le désir de la majorité des pharmaciens de réaliser cette société mixte, le projet sera abandonné.
En définitive, la proposition ne concernait plus l’importation, et les conditions de cession de la fabrication étaient impossibles à concrétiser par les pharmaciens.

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L’Assemblée Générale Elective du 11 Décembre 1976 a permis la formation du Conseil de l’Ordre suivant :

-Président : Aziza OUAHCHI BEN CHERIFA

-Vice-Président : Béchir LOUATI

-Secrétaire Général : Moncef ZMERLI

-Secrétaire Général Adjoint : Chedly EL FAZAA

-Trésorier : Hachemi MILED

-Trésorier Adjoint : Slaheddine HAJJEM

-Assesseurs : Malika HAYOUN BAHRI, Moncef JEDDI, Moncef GHEZAIEL

Mme Aziza OUAHCHI BEN CHERIFA assurera depuis cette date la présidence du Conseil de l’Ordre des Pharmaciens, jusqu’en mai 1990, soit pendant près de 14 ans. Elle aura été élue à ce poste 5 fois consécutives. Elle marqua de sa personnalité la pharmacie tunisienne durant cette période.

Le Conseil de l’Ordre élu continua à organiser la profession et de nouveaux textes réglementaires ont été promulgués en collaboration avec les autorités compétentes:

•Arrêté du 28 janvier 1977 fixant les horaires d’ouverture et de fermeture des officines.

C’est le premier arrêté qui a déterminé la séparation des horaires entre les pharmacies de catégorie A et B.

•Statut des pharmaciens hospitaliers et des pharmaciens biologistes hospitaliers paru sous forme de décret (16 avril 1977) : Les pharmaciens des hôpitaux sont classés en pharmaciens de la santé publique, pharmaciens principaux, pharmaciens biologistes et pharmaciens biologistes principaux.

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Le nombre de pharmaciens inscrits au Tableau de l’Ordre a nettement augmenté puisqu’il a été multiplié par 6 en 13 ans : Il passe de 132 au 1er janvier 1966 à 767 au 31 décembre 1979. On peut parler ici de démographie galopante !

Le Conseil de l’Ordre commence à réclamer l’adéquation formation emploi et demande à encourager l’industrie pharmaceutique privée, en vue de trouver des débouchés aux futurs diplômés.

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Le Conseil de l’Ordre, après des discussions laborieuses avec les autorités, a pu rétablir les marges bénéficiaires d’avant 1968 pour les pharmacies d’officine (32%, 30% et 28%), et les grossistes répartiteurs (10%). Cette réintégration des marges est en même temps suivie d’une revalorisation des honoraires de responsabilité qui passent de 15, 20 et 25 millimes à 40 et 45 millimes.

L’arrêté sur les marges ne paraîtra que le 14 mars 1988.

Cette amélioration de la situation financière du pharmacien d’officine permettra de mieux absorber l’augmentation du nombre de pharmacies. Le nombre de pharmaciens inscrits au tableau de l’ordre était passé à 1287 en 1984, ayant plus que doublé en 5 ans (596 en 1979), tandis que le nombre des officinaux passait à 758 (alors qu’il était de 450 en 1979). Les grossistes étaient au nombre de 14 en 1984.

Sur proposition des certains confrères un fonds d’entre aide professionnelle fut créé par le Conseil de l’Ordre; la présidence en fut confiée à Radhi JAZI ; il dirigea ce fonds pendant une année.

Par la suite les actions de ce fonds se sont limitées, pour devenir pratiquement inexistantes au bout de quelques années.

Dans le but de trouver des emplois pour les jeunes, le C.O.P. et les autorités de tutelle ont été amenés à créer des «zones prioritaires» qui ont permis par l’arrêté du 2 septembre 1987 à certains pharmaciens de s’installer.
Par la suite, ces secteurs prioritaires seront assimilés aux communes auxquelles ils appartiennent, lors du changement de numerus clausus. Mais ils n’auront rien réglé quant à l’emploi des jeunes, puisque limités.

En juin 1987 un arrêté du Ministère de la Santé Publique fixera la composition et le fonctionnement du comité technique des spécialités pharmaceutiques en vue de l’autorisation de mise sur le marché (A.M.M.).

Enfin l’arrêté du 24 août 1987 fixe les horaires d’ouverture et de fermeture des officines de détail. C’est le 5ème en 10 ans. Il démarque les horaires pour les catégories A et B. Cet arrêté tient compte de l’établissement de l’heure d’été en Tunisie.

D’autres amendements à la dite loi sont promulgués dans la loi du 11 décembre 1989. Ils apportent des changements structurels importants :

•Création des Conseils Régionaux qui seront au nombre de 6 : Tunis, Ariana, Béja, Sousse, Sfax et Gabès.

•Le C.N.O.P. remplace le C.O.P. : Le Conseil National de l’Ordre des Pharmaciens se compose de 11 pharmaciens dont au moins un pharmacien par branche d’activité, toujours élus par l’ensemble du corps électoral :

-Officine de catégorie A

-Officine de catégorie B

-Hospitalier

-Biologiste

-Industriel

-Grossiste-répartiteur

•Introduction de l’avertissement parmi les sanctions disciplinaires.

•Les candidats au Conseil National de l’Ordre des Pharmaciens ne peuvent être élus pour plus de 2 mandats consécutifs.

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Nous, pharmaciens, réunis ce jour samedi 4 mars 1972, en Assemblée Générale à la Maison du Pharmacien, sur convocation du Président du Conseil de l’Ordre, à la demande de la majorité du corps pharmaceutique.
Après avoir longuement délibéré de la situation actuelle de la profession et de la gestion du Conseil de l’Ordre en exercice, à la lumière du rapport moral présenté par son Président.

Considérant que la mission essentielle du Conseil de l’Ordre réside dans la défense des intérêts moraux et matériels de la profession pharmaceutique,
Considérant que l’actuel Conseil de l’Ordre, en dehors des promesses, n’a obtenu aucun résultat conforme à nos vœux,
Considérant que l’exclusivité de la vente des médicaments a cessé d’être réservée aux seuls Pharmaciens, la PCT ravitaillant les simili agences pharmaceutiques créées à Tunis (STEG, Agricultor, etc.) et ce en violation flagrante des articles : 1er– 29 – 30 et 36 du décret loi n° 60-12 du 16 mars 1960 relatif à l’exercice et à l’organisation des professions pharmaceutiques,
Constatant que le Conseil de l’Ordre n’a rien fait non plus pour le statut du pharmacien hospitalier,
Constatant que les raisons essentielles de cette situation sont dues au manque de cohésion entre les membres du bureau du Conseil de l’Ordre et à la présence en son sein de certains membres qui n’ont cessé d’agir contre l’intérêt de l’ensemble de la profession, adopte les résolutions suivantes :

1-Le rapport moral présenté par le Conseil de l’Ordre est rejeté. L’Assemblée Générale souveraine retire sa confiance aux membres du Conseil de l’Ordre.
2-L’Assemblée Générale décide d’élire, au scrutin secret, un Comité Provisoire de six membres ayant pour mission d’entreprendre toutes les démarches nécessaires auprès des pouvoirs publics à l’effet de :

-Faire aboutir les amendements à la loi organique, adoptée par l’Assemblée Générale de juin 1971, et en particulier l’institution du Collège Unique.
-Mettre un terme aux violations successives de la législation en vigueur, et notamment des articles 1er-8-29-30 et 36 du décret-loi du 16 mars 1960.
-Œuvrer pour la revalorisation de la profession pharmaceutique, par la défense de ses intérêts moraux et matériels.

Le 6 Mars 1972 le Conseil de l’Ordre présente sa démission, et le Comité Provisoire est reconnu par le Ministère de la Santé Publique. Sadok BEN YAHMED, Président sortant, a été chargé par le Ministre d’expédier les affaires administratives courantes.

Une commission composée de membres du Comité Provisoire et de représentants du M.S.P. se pencha sur l’étude et la révision de la loi organisant les professions pharmaceutiques. Plus d’une année de discussions fut nécessaire pour aboutir à la promulgation de la loi du 3 août 1973.

Il est à noter que le Comité Provisoire a été invité à assister aux débats de l’Assemblée Nationale.

Ainsi, le Comité Provisoire, réaction salutaire de la profession à un tournant décisif de son histoire, vécut du 4 mars 1972 au 10 octobre 1973. Il a permis de limiter les dégâts en ce qui concerne les pharmacies de sociétés même si elles ne furent pas fermées. Les pouvoirs publics se sont engagés à ne plus autoriser l’ouverture de nouvelles pharmacies mutualistes.

Par ailleurs, les pharmaciens furent de nouveau associés à toutes les décisions concernant leur profession et furent représentés dans toutes les commissions de la santé publique.

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Cette loi, objet d’un compromis avec les autorités, amena des changements importants:

•Abolition des «collèges», les pharmaciens tunisiens inscrits à l’Ordre constituaient désormais un corps unique. La représentation au Conseil de l’Ordre des différentes branches d’activité était garantie : officine, hospitaliers, grossistes… étaient élus par l’ensemble des pharmaciens.
•Des conditions restrictives aux pharmacies de sociétés ont permis d’endiguer le phénomène, mais certaines de ces pharmacies de société existent encore à ce jour et n’ont pu être fermées malgré l’illégalité de leur existence :

-Suppression de la propharmacie pour les médecins et réglementation de la vente des médicaments pour les vétérinaires, selon une liste d’urgence.
-Confirmation du numerus clausus d’une officine pour 5000 habitants.
-Suppression des artères commerciales, pour les grandes villes. (La loi de 1960 permettait de ne pas respecter la distance des 200 m pour ces artères).
-Autorisation des injections en officine (régularisation d’une situation de fait).
-Suppression de l’âge de 25 ans minimum pour l’exercice officinal.
-Autorisation de pratiquer la biologie pour les pharmaciens des localités qui sont démunies de laboratoires d’analyses médicales.
-L’exploitation des entreprises pharmaceutiques est réservée aux nationaux.
-Pour être membre du Conseil de l’Ordre il ne fallait plus que 3 ans d’exercice au lieu de 10 ans.

Cette loi organique, avec les amendements qui ont été adoptés depuis, gère encore la profession pharmaceutique et particulièrement l’exercice officinal.

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Le Conseil de l’Ordre élu à l’issue de l’Assemblée Générale du 6 octobre 1973, qui; a vu une participation massive des pharmaciens, a été ainsi constitué:

-Président : Radhi JAZI

-Vice-Président : Aziza OUAHCHI BEN CHERIFA

-Secrétaire Général : Moncef ZMERLI

-Secrétaire Général Adjoint : Hassen ABBES

-Trésorier : Nefissa TANGOUR BOUZAYEN

-Trésorier Adjoint : Mohamed Ali ABBAR

-Assesseurs : Houcine KILANI, Radhi DARGHOUTH, Hachemi MEGDICHE

Ce nouveau Conseil s’est attelé rapidement à la tâche en parvenant à rétablir la confiance au sein du corps pharmaceutique : de nouvelles méthodes de travail, de nombreuses réunions avec les pharmaciens, l’amélioration de l’information. En collaboration avec les autorités, il a étoffé la législation pharmaceutique et comblé les lacunes par la promulgation de textes législatifs et réglementaires.

Citons notamment:

•Arrêté du 19 avril 1974 fixant les superficies nécessaires pour l’agrément des locaux destinés aux pharmacies de détail.

•Arrêté du 27 juillet 1974 fixant les conditions dans lesquelles est autorisée la pratique des injections dans les officines.

•Loi fixant les conditions d’exploitation d’un laboratoire d’analyses médicales.

•Arrêté fixant la liste des médicaments pouvant être détenues par les organismes à caractère social (pharmacies de sociétés).

•Décret n° 73-835 du 14 novembre 1974 portant code de déontologie. Pour la première fois la profession a été dotée d’un code de déontologie national que les pharmaciens se sont engagés à respecter. Ce code continue à régir l’exercice pharmaceutique.

•Décret n° 76-253 du 16 mars 1976 qui divise les pharmacies d’officine en 2 catégories, catégorie A de jour et catégorie B exclusives de nuit.

-Signature de la convention nationale des employés des pharmacies d’officine.

C’est ainsi qu’avant la parution du texte créant les pharmacies de nuit, le service de nuit a été réorganisé entre les volontaires qui en avaient fait la demande.

Par ailleurs, le C.O.P. a interdit les croix et les croissants qui fleurissaient sur les façades de certaines pharmacies pour imposer le caducée, Cette pratique s’est rapidement généralisée.

De nombreux pharmaciens ne détenaient pas de stupéfiants et ne pouvaient ainsi honorer les prescriptions; une liste minimale de produits de Tableau B à détenir a été dressée par le C.O.P. et approuvée par le M.S.P.

Le C.O.P. a relevé le défi de la formation du personnel des officines et a mis en place avec la collaboration du Ministère des Affaires Sociales l’école des aides préparateurs avec un programme de cours assurés par les confrères volontaires à coté du stage dans les officines.

Le C.O.P. a également, avec la collaboration de la Société des Sciences Pharmaceutiques, mis en place à partir de 1975 l’école des préparateurs (techniciens – préparateurs en pharmacie). Les cours se déroulaient à l’Institut Supérieur du Travail.

Ces 2 écoles ont assuré la formation d’employés qualifiés pour les officinaux, telle que le prévoit la loi.

Parmi les autres innovations, le Conseil de l’Ordre, suite à un référendum auprès des pharmaciens de Tunis, a instauré un service d’été avec fermeture annuelle et mi-temps. Cette réforme a commencé à être appliquée durant l’été 1976.

De même, des services de garde ont été établis pour toutes les localités où il y avait au moins 2 pharmacies. Certaines communes ont organisé une fermeture annuelle en été à l’instar de la commune de Tunis.

Le Conseil de l’Ordre a organisé à Tunis en Avril 1975 la réunion du Bureau Permanent de l’Union des Pharmaciens Arabes.

Cette réunion vit l’adhésion pour la première fois à cet organisme de la Société des Sciences Pharmaceutiques présidée alors par Aziza OUAHCHI.

Le C.O.P. avait modifié les horaires d’ouverture et de fermeture des pharmacies et a diminué le nombre d’heures d’ouverture en le ramenant de 10h à 9h par jour, afin de rendre le travail du pharmacien plus humain :

-Hiver : 8h30 à 12h30 et 15h à 20h

-Eté : 8h à 13h et 16h à 20h30

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C’est en 1976 que fut ouverte la première pharmacie exclusive de nuit*.

Ces pharmacies de nuit ont vu leur nombre augmenter rapidement.

Leur but, au départ, était d’assurer la bonne dispensation du médicament dans le cadre de l’exercice personnel et non la création de débouchés pour les jeunes diplômés.

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L’Ordre des Pharmaciens tient son Assemblée Générale Elective le 15 février 1990. Sont élus : Aziza OUAHCHI, Ferid BACCOUCHE, Nefissa MILED BOUZAYEN, Moncef HACHICHA, Abdelfattah FASSATOUI, Feriel ELLOUZE, Mustapha OUAHCHI, Mohamed CHAKRI, Habib BEN YAHIA, Radhouane BOUZGUENDA et Ridha KHOJET EL KHILl.

Mais, suite aux dispositions de la nouvelle loi organique de 1989, l’élection de Aziza OUAHCHI et de Ferid BACCOUCHE est contestée, vu qu’ils ont déjà effectué au moins 2 mandats consécutifs. Le M.S.P. ainsi que 3 pharmaciens portent l’affaire devant le tribunal administratif. L’arrêt du tribunal déclare les candidatures de Aziza OUAHCHI et de Ferid BACCOUCHE non valides.

Des élections partielles pour pourvoir à leur remplacement ont eu lieu. D’autres élections partielles auront lieu encore à la suite de la démission de Radhouane BOUZGUENDA et de Ridha KHOJET EL KHIL qui étaient en désaccord avec ce Conseil.

Le Conseil de l’Ordre sera composé alors comme suit :

-Président : Nefissa MILED BOUZAYEN

-Vice-Président : Moncef HACHICHA

-Secrétaire Général : Fethi FASSATOUI

-Secrétaire Général Adjoint : Feriel ELLOUZE

-Trésorier : Mustapha OUAHCHI

-Trésorier adjoint : Mohamed CHAKRI

-Assesseurs : Habib BEN YAHIA, Taoufik BOUDEN, Moncef BEN ZAIED, Alia BEN YOUSSEF, Rached KHABTHANI

Entre temps la vignette qui était prélevée par les grossistes et la P.C.T. (0,5 Millimes par unité), au profit du Syndicat (avant 1960) puis de l’Ordre lorsque celui-ci assurait la défense matérielle du pharmacien, a été supprimée après une longue contestation entre l’Ordre et le Syndicat.

La cotisation à l’Ordre a été réévaluée pour faire face aux besoins de gestion.

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En ce qui concerne les officinaux, le nombre de demandes d’installation dans les villes déjà saturées posant des problèmes, une «décision» du Ministre de la Santé Publique institue officiellement une liste d’attente et définit les conditions d’inscription des pharmaciens sur cette liste.

Quant aux pharmaciens hospitaliers, le décret 91-238 du 4 février 1991 portant statut du corps des pharmaciens de la Santé Publique organise leur carrière et son déroulement. Ce décret aide encore à la stabilisation du pharmacien à l’hôpital. Ils sont 210 pharmaciens hospitaliers en 1990.

La loi 90-105 relative à la Pharmacie Centrale de Tunisie reprend le statut de cet organisme et définit sa mission. Elle confirme le monopole de l’importation des médicaments de la P.C.T.

Le décret fixant les attributions et les modalités d’élections et de fonctionnement des Conseils Régionaux est promulgué.
Les Conseils Régionaux sont élus et mis en place en juin 1990. Leurs attributions sont pratiquement les mêmes que celles du Conseil National. Il n’ y a pas de prérogatives propres aux Conseils Régionaux ; ceci provoquera; de nouvelles tensions dans les rapports du Conseil National avec certains Conseils Régionaux.

Cette situation explique en grande partie le peu d’intérêt suscité par les élections de Conseil Régionaux ne disposant pas en particulier de pouvoir disciplinaire.

Le décret n° 91-886 du 8 juin 1991 portant organisation de l’exploitation des établissements de grossiste – répartiteur en pharmacie, est promulgué.
Il fixe les conditions d’obtention de la licence d’exploitation, de la superficie des locaux et des équipements techniques, des conditions d’exercice,…

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En juin 1992, un décret portant organisation de l’exploitation des officines de détail est promulgué. De profonds changements interviennent avec la publication de ce nouveau décret :

•Le numerus clausus qui était d’une pharmacie par tranche entière de 5000 habitants va devenir dégressif pour les pharmacies de catégorie A.
Celles-ci sont classées en 5 zones, selon les délégations, et non plus selon les communes:

-Zone 1 : une officine par tranche non entière de 4000 habitants
-Zone 2 : une officine par tranche non entière de 8000 habitants
-Zone 3 : une officine par tranche non entière de 16000 habitants
-Zone 4 : une officine par tranche non entière de 32000 habitants
-Zone 5 : une officine par tranche non entière de 64000 habitants

En pratique, le numerus est donc passé de 5000 à 4000 habitants par tranches non entières pour la majorité des villes de Tunisie.
En ce qui concerne les pharmacies de catégorie B, exclusives de nuit, le numerus clausus conserve la commune comme référence, mais passe à une pharmacie pour 70.000 habitants par tranche non entière au lieu d’une pharmacie pour 100.000 habitants.

La loi n° 92-75 du 3 août 1992, modifiant la loi du 3 août 1973 organisant les professions pharmaceutiques, va apporter des changements importants :

•Elle conforte la propharmacie vétérinaire. Les vétérinaires pourront acheter directement auprès de la P.C.T. ou de l’Institut Pasteur et détenir les produits pharmaceutiques et biologiques nécessaires à l’exercice de leur profession.
Cette disposition donnera lieu à des abus et créera un climat de tension concernant les listes de médicaments nécessaires à l’exercice vétérinaire.

•Elle supprime la «Chambre de Discipline». Les décisions du Conseil de Discipline sont susceptibles de recours directement devant la Cour d’Appel de Tunis.

•Le Conseil de Discipline est saisi par le Ministre de la Santé Publique, le Procureur Général près de la Cour d’Appel de Tunis ou le Président du Conseil National de l’Ordre des Pharmaciens exclusivement.
Ainsi les pharmaciens ne peuvent plus saisir directement le Conseil de Discipline. Il leur faut passer par le Président du Conseil National de l’Ordre, seul décideur.

•Les fonctions de membre du Conseil National ou d’un Conseil Régional de l’Ordre sont incompatibles avec celles de membre d’un syndicat pharmaceutique.

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Le 11 mai 1993 s’est tenue à Sousse (Port El Kantaoui) l’Assemblée Générale Elective de l’Ordre des Pharmaciens.

Il y eut, phénomène exceptionnel, 681 votants sur 2000 inscrits, environ.

Le Conseil National, élu, a été ainsi composé :

-Président : Hechmi HAMDI

-Vice-Président : Taoufik BOUDEN

-Secrétaire Général :Taoufik KHABTHANI

-Secrétaire Général Adjoint : Abderrazak HEDHILI

-Trésorier : Ali NAAS

-Trésorier Adjoint : Mustapha OUAHCHI

-Assesseurs : Habib KHESSAIRI, Farhat KRIFA, Ali ENNEIFER, Abdallah JALEL

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Le 27 juin 1993 disparaissait la regrettée présidente Aziza OUAHCHI. Pendant une vingtaine d’années, elle a eu un rayonnement particulier sur la pharmacie en Tunisie, mais aussi dans les pays du Maghreb et le reste des pays arabes :

Elle a occupé le poste de Président du Conseil de l’Ordre des Pharmaciens, de la Société des Sciences Pharmaceutiques, de la Fédération des Pharmaciens du Maghreb Arabe et de Vice-Président de l’Union des Pharmaciens Arabes.

Elle avait commencé sa carrière professionnelle en ouvrant un laboratoire d’analyses médicales à Sousse en 1963. Elle a ensuite été désignée en 1966 gérant de la COTUPHA, puis Président de 1987 à 1993.

L’Ordre des Pharmaciens lui a rendu un brillant hommage.

Le décret 93-1448 du 3 juillet 1993 reprend le dernier décret sur le numerus clausus et apporte des modifications :

-Ce n’est plus la tranche non entière mais la tranche semi-entière pour toutes les zones qui sera appliquée.

-Des dérogations par voie d’autorisation exceptionnelle d’ouverture d’officines de catégorie A pour Tunis (4), Sousse (2) et Sfax (1) sont adoptées.

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Après de nombreux essais d’achat de terrain ou de villa pour y installer la «maison du pharmacien», le Conseil de l’Ordre a fini par opter pour l’achat d’une villa sise au quartier du Belvédère, 56 Rue Ibn Charaf, pour la somme de 280.000 dinars.

Après aménagement, la «Maison du Pharmacien» a été inaugurée le 20 janvier 1995 par le Dr. Hédi MHENNI, Ministre de la Santé Publique.

L’acquisition a été réalisée grâce aux réserves de l’Ordre des Pharmaciens, au montant de la vente d’un terrain situé aux Berges du Lac (qui avait été acheté par le précédent Conseil de l’Ordre et dont le coût de construction s’était avéré trop élevé), aux cotisations volontaires des pharmaciens à cet effet, ainsi que de prêts auprès des banques et de la Société des Sciences Pharmaceutiques.

Le local de la place du 7 novembre a été mis à la disposition des Conseils Régionaux de l’Ordre de Tunis et de l’Ariana qui y cohabitent.

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L’arrêté du 20 février 1996 fixe de nouvelles marges bénéficiaires pour les pharmaciens d’officine et les grossistes – répartiteurs :

•La marge grossiste a été ramenée de 10% à 8%.
Cette baisse substantielle de leurs bénéfices mettra plusieurs grossistes – répartiteurs en difficultés.

•Pour les pharmaciens d’officine, la baisse de la marge sera aussi importante : 2 points de réduction par rapport aux marges en cours et la création d’une 4ème marge dégressive pour les produits dont le prix d’achat est supérieur à 9 dinars.

Les nouvelles marges sont de 30, 28, 26 et 24% alors qu’elles étaient de 32, 30 et 28%.

Cette décision se traduira par la diminution des revenus nets du pharmacien d’officine de 20 à 25%.

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L’Ordre des Pharmaciens tient à son tour son assemblée générale élective le 4 mai 1996 à Tunis. Le nouveau Conseil National de l’Ordre est ainsi constitué:

-Président : Hechmi HAMDI

-Vice-Président : Brahim NACEF

-Secrétaire Général : Bahri CHERIF

-Secrétaire adjoint : Farhat KRIFA

-Trésorier : Ali NAAS

-Trésorier Adjoint : Abderrazak HEDHILI

-Assesseurs : -Abdelkrim HAMROUNI, Taoufik KHABTHANI, Ahmed BEN TOUMINE, Saïda BEN NJIMA ROUISSI, Saïda BALTI

Par suite de désaccords internes entre les conseillers ordinaux et la manière de gérer les relations avec les Conseils Régionaux, quatre membres du CNOPT ont démissionné : Saïda BEN NJIMA ROUISSI, Bahri CHERIF, Abderrazak HEDHILI et Saïda BALTI.

Des élections partielles ont eu lieu le 31 Janvier 1999, soit 2 mois à peine avant l’Assemblée Générale Elective de l’Ordre et ont donné lieu à une redistribution des postes.

Le Conseil National de l’Ordre a été ainsi constitué:

-Président : Hechmi HAMDI

-Vice-Président : Brahim NACEF

-Secrétaire GénéraL : Ahmed BEN TOUMINE

-Secrétaire Général Adjoint : Lamine REGAYA

-Trésorier : Ali NAAS

-Trésorier Adjoint : Farhat KRIFA

-Assesseurs : Taoufik KABTHANI, Abdelkrim HAMROUNI, Ali FAKHFAKH, M’hamed Tarek JAIBI, Néjiba TLEMÇANI

Peu de temps après le CNOPT notera encore une démission, celle de Abdelkrim HAMROUNI.

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-Président : Radhi DARGHOUTH

-Vice-président : Ali ENNEIFER

-Secrétaire Général : Ahmed ABDELMOULA

-Secrétaire Général Adjoint : Farouk ASLI

-Trésorier : Jaleleddine HILA

-Trésorier Adjoint : Hazem EL GHOUL

-Assesseurs : Ahmed BEN TOUMINE, Abdelkrim HAMROUNI, Nabil SAIED, Ali FAKHFAKH, Néjiba TLEMÇANI

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-Président : Nabil SAIED
-Vice président : Ali NAAS
-Secrétaire Général : Abdallah JALEL
-Secrétaire Général Adjoint : Féthi ZEMZEMI
-Trésorier : Néjib EL OUED
-Trésorier Adjoint :Meriem GUERFALI
-Assesseurs : Mokhtar DAKHLI, Hazem EL GHOUL, Youssef GHAYAZA ,Jaleleddine HILA, Farhat KRIFA

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